• "Je te jure, je ne ronflerai plus !" c'est en substance ce que doit dire Jo à son ami Jean-Marc.
    Les deux compères ont partagé la même chambre d'hôtel et ensuite la même tente durant la totalité du séjour.
    Pendant le trekk, la fatigue aidant (et peut-être la "grappa") les ronflements de Jo ont failli être la cause d'une séparation à l'amiable.
    Heureusement l'amitié l'a emporté !
    Pas toujours facile la vie en collectivité, en altitude et dans un environnement inhabituel !


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  • Les monastères occupent bon nombre de sommets et les "villages" sont concentrés à leurs pieds.
    A défaut de monastère, ce sont les drapeaux à prières qui ornent les cimes.
    Les signes de la religion sont omniprésents.

    Les chemins d'accès sont particulièrement scabreux et quelques fois, nous n'avons pas osé suivre nos "kitchen boys" sur les derniers mètres les plus escarpés.

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  • En journée, le soleil permet de réchauffer l'atmosphère.
    Par contre, dés sa disparition le froid s'installe.
    Les soirées, les nuits et les petits matins sont frigorifiques.
    Le matin, sortir de la tente est redouté, n'est-ce pas Michel ! 

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  • Réalisé en octobre, novembre, notre périple nous a fait découvrir les couleurs automnales.
    Ces arbres baignés de soleil ont apporté leur touche colorée.
    une beauté appréciée de tous qui se conjugue parfaitement avec les ocres, violines et autres émeraudes de cet univers minéral.
    Superbe !

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  • Le lit de la rivière est la seule voie de communication de la vallée.
    Pas de route, pas de piste... Donc pas d'autre moyen de transport que les moyens animaux ou humains.
    Nous croisons une caravane de chevaux et de yacks.
    Les chevaux sont plus "aimables" que les seconds.
    Les yacks sont "grognons", mais ils sont capables de transporter des charges plus lourdes à des altitudes plus élevées.


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  • Les travaux de maçonnerie sont strictement masculins.
    par contre tout est manuel, pas d'engin de TP.

    Construction d'une "buvette" le long du sentier du trekk.

    Le "ciment" est prélevé à même le sol environnant la construction.
    Le bois d'ouvrage est importé.

    Pas de brouette, le "ciment" est transporté dans le tablier d'un aide maçon.

    Seul "outil" moderne, le cordeau !

    "Kani" regarde d'un oeil d'expert et avec interêt le travail réalisé



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  • Les parachutes sont omniprésents dans la vallée.
    Ici, le campement des maçons !
    Pas de quoi stopper le froid nocturne, ni même les courants d'air.
    Rien que d'y penser un frisson nous glace.

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  • Les femmes assurent beaucoup de tâches.
    Elles élèvent les enfants, entretiennent la maison, vont aux champs...

    La condition féminine Ladakhie est peu enviable et les trekkeuses du groupe ne voudraient pas changer leurs conditions de vies occidentales.

    Cette photo est significative.

    Le petit âne porte 9 parpaings, la dernière femme en a 5 dans le dos.

    Poids estimé de chaque parpaing, environ 12 kg.
    Belle performance pour cette "porteuse" qui transporte près de 60 kg.
    Remarquables également, les chaussures !

    Vous avez dit CHSCT ?

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  • Les céréales constituent un des éléments de base de l'alimentation.
    Les Ladakhis de la vallée prennent soin de leur récolte.
    Le grain sêche au soleil. Une bâche est prête pour le protéger le soir venu.
    La lessive est également placée au soleil.
    Pour éviter que les bêtes (sauvages et domestiques) ne s'approchent, les murets sont surmontés de buissons épineux particulièrement agressifs.

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  • Croisées au détour d'un méandre de la rivière, ces deux femmes transportent leur fardeau avec détermination.
    Quelques fois nos sacs paraissent lourds, cette rencontre nous permet encore une fois de relativiser et d'apprécier nos conditions de vie occidentales !

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  • Dans la vallée de la Markha les ponts ne sont pas nombreux.
    Toutefois, ils permettent le franchissement de la rivière sans avoir à se déchausser.
    Tous nous préfèrons leur instabilité, à un bain de pieds frigorifique. 

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  • Pas très catholique le "sermon" !
    Il est question dans ce discours de "fille du bédoin" aux moeurs douteux !
    Rires garantis, le tout en haute altitude !
    Il a du souffle l'ami Jean-Marc ! Et plein d'autres histoires en réserve ! 


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  • La rivière Markha est devenu torrent.
    L'eau est gelée, pour une fois nous ne passerons pas à gué.
    Le pont est le bienvenu.
    Pas très rassurant pour autant, le platelage disjoint est très mouvant.
    Etonnement, une bonne douzaine de poissons de belle taille (truites ?) se mirent au soleil dans l'espace d'eau libre, libéré par le gel, juste sous le pont. 


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  • Le camp ressemble plus à un campement de nomades qu'à une équipe de trekk !
    L'étape précédent "l'assaut" a été courte.
    Le soleil réchauffera encore quelques heures les marcheurs.
    Les sacs de couchages sont de sortie, les vétements sont aérés... Les plus courageux attaquent une lessive !

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  • Le camp est installé.

    L'inquiètude perceptible de la troupe justifie quelques petits "mensonges".
    Pour ne pas inquiéter davantage, il est question d'une altitude de 4 200 mètres.
    L'altimètre indique un peu (beaucoup) plus (à peu près 4 700 mètres).
    Nos "kitchen Boys" partis à la récolte de combustible, nous offrirons un joli feu de camp de ...."bouses séchées".

    Le regard fixe sur la difficulté à venir, Joëlle, (elle n'est pas la seule) médite sur le cheminement à parcourir le lendemain !


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