• La descente continue vers Skiu, son monastère et son campement.
    Le soleil à du mal à pénétrer dans ces gorges.

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  • Les préparatifs pour quitter le camp de SKIU et s'engager dans la vallée de la Markha

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  • Les écoles ne sont pas nombreuses dans la vallée.
    Les enfants sont quelques fois obligés de marcher bien longtemps pour assister aux cours.

    Ces établissements sont une vraie fierté pour les Ladakhis, ils n'hésitent pas à les signaler par de grands "SCHOOL" dessinés à même le sol avec des pierres blanches (ici associé au signe "zen").

    Ne soyez pas étonnés de voir une jeune femme vous aborder et vous inciter à un don pour l'école.
    C'est chose courante.
    Vous recevrez en échanges de quelques dizaines de roupies (ou plus), un reçu en bonne et due forme, issu d'un carnet à souches revêtu de tous les cachets officiels nécessaires.

    Nous avons souvent laissé notre générosité parler, c'est pour la bonne cause !
    Photo Jean-Marc

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  • Le chorten est un monument funéraire qui abrite les cendres des Lamas.

    En fonction de l'importance de ce dernier l'édifice est plus ou moins imposant.
    En règle général de couleur blanche, il peuvent être teintés de rouge.

    Sur cette photo, un chorten un peu atypique, le seul élevé au dessus d'un passage.


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  • Les murs à Mani sont souvent construits à proximité des chortens.
    Ils recueillent les pierres gravées des incantations "OM MANI PADME OM"
    Certaines usées par l'érosion du vent et des intempéries datent probablement de plusieurs siècles.

    Nos accompagnateurs nous ont invité à contourner ces murs par la gauche et à y déposer une petite pierre blance témoin de notre passage.


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  • "OM MANI PADME OM"  qui signifie « Salut ô joyau dans la fleur de lotus ».


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  • L'incantation "OM MANI PADME OM" prononcée par les Ladakhis lorsqu'ils prient à l'aide de leurs "moulins à prières" est ici gravée dans la pierre.

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  • Les murs à MANI sont constitués de pierre de toutes formes et de toutes dimensions.

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  • Le groupe constitué de 18 "occidentaux" et des accompagnateurs chemine le long de la rivière.
    Au départ de l'étape la troupe est encore compacte, petit à petit chacun prendra son rythme de croisière.

    Sur cette photo, Blandine entraine dans son sillage Jean-Marc, Joseph, Marie, Jean-Kamikaze, Serge et Josy.

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  • Le yack est moyennement présent dans la vallée de la Markha.
    Nous avons croisé quelques troupeaux de 3 ou 4 unités seulement.
    Le dzo -croisement entre la vache et le yack - est beaucoup plus présent.
    Le "sale" caractère du yack est-il la raison ?


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    Le panier est un contenant très utilisé.
    Transport de pierre, de graines... collecte de bouses, de bois...


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  • Porté en bandouillère, comme un sac à dos, en frontal... il est adapté à tous les besoins.

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  • Nouvelle étape pour la troupe.
    nous installons notre camp aux alentours de ce "village".
    Il n'y a qu'une seule maison, avec quelques dépendances.
    Nous y découvrons une serre, que nous nous empresserons de visiter.
    Signe d'aménagement et de prise en compte de la dimension "touristes", le camping dispose de toillettes. Et elles sont séparées, ladies à droite, gents à gauche....
    Le luxe !

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  • Dans ce "village" nous découvrons une serre.
    Grâce à une toile plastique recouvrant le côté de l'édifice, la température intérieure est suiffisante pour permettre la culture de légumes.
    Il est étonnant de retrouver à une telle altitude (près de 3 900 mètres), des courgettes, des épinards...

    Michel, comme le reste du groupe y trouvera un accueil chaleureux de la part des habitantes. (comme partout dans la vallée)


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  • "Je te jure, je ne ronflerai plus !" c'est en substance ce que doit dire Jo à son ami Jean-Marc.
    Les deux compères ont partagé la même chambre d'hôtel et ensuite la même tente durant la totalité du séjour.
    Pendant le trekk, la fatigue aidant (et peut-être la "grappa") les ronflements de Jo ont failli être la cause d'une séparation à l'amiable.
    Heureusement l'amitié l'a emporté !
    Pas toujours facile la vie en collectivité, en altitude et dans un environnement inhabituel !


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